Quand mon fils Youri est né, sa peau était marquée de rougeurs.

Le visage. La tête. Les mains. Tout son petit corps en souffrait.

Les bains devenaient un moment d’angoisse.

On a tout essayé : raccourcir, espacer, refroidir l’eau, changer de produits. Rien ne marchait.

Imagine… donner le bain à ton bébé en sachant que ça va lui faire mal.

Chaque fois, j’avais le cœur serré.

Alors j’ai cherché. Sans relâche.

J’ai enlevé toutes les crèmes, tous les produits lavants, pour revenir au plus simple.

Du savon de Marseille pour laver. Du karité brut (comme celui qu’on utilise depuis toujours au Congo Brazza où j’ai grandi) pour nourrir sa peau.

Puis des remèdes maison : argile verte, huile d’olive, eau de rose.

Au fil de mes recherches, j’ai découvert la saponification à froid.

Un monde s’ouvrait à moi : comprendre pourquoi la peau tiraille après la douche, pourquoi le surgras est essentiel, pourquoi le choix des beurres et des huiles change tout.

Alors j’ai cherché le savon idéal.

Un savon riche en karité, en cacao, en huiles précieuses comme la bourrache, la camomille ou la nigelle.

Un savon où le surgras serait vraiment généreux, pas limité à 5 ou 8 %.

Mais ce savon-là… je ne l’ai jamais trouvé.

Alors j’ai appris à le créer.

Essai après essai (merci à ma famille et mes amis pour leur patience !), j’ai formulé le savon que j’aurais aimé avoir dès le début : Ricochet.

Un savon solide.

Un savon où le beurre de karité et le beurre de cacao sont majoritaires.

Un savon au surgras élevé, pensé pour protéger la peau de la déshydratation.

Car se laver devrait être un moment de douceur, pas de douleur.

Surtout quand il s’agit de son enfant.

Je l’ai vécu.

Et si je peux éviter à d’autres parents de traverser la même épreuve, alors tout cela prend sens.

Ricochet n’est pas une tendance.

Pas un produit marketing.

C’est un geste de protection, né de l’amour d’une maman pour son enfant.

Et aujourd’hui, je veux le partager avec toutes les peaux sensibles.